Novembre 2008 – Samuel Katarro est un super jeune ami, un gars de 20 ans avec une passionne pour la musique démesuré, et un caractère musicale jamais connu ailleurs. Il raconte une apocalypse folk-blues noire et grotesque. J’ai eu l’idèe et le plaisir de retransmettre sa pourriture en images pour l’artwork de son album soliste.
Ecoutez lui, dans son première album soliste “Beach Party”.
Photos en argentique avec mon vieil Nikkormat, une zone industrielle perdue juste à la limite des frontières de Prato, ville du textile à côté de Florence. Et le jeune Samuel Katarro (dans la vie réelle Alberto Mariotti). Machines oubliées, visions d’un futur de totale abandonne, où la vie peut ressurgir sous les buts de couleur des coquelicots sauvages poussés sur la sable d’un chantier.
Cliquez sur l’image on dessous ou ICI, pour voir l’histoire de cette déambulation sans direction autre que une apocalyptique contemplation d’un monde en train de s’effondrer.